Je… je ne comprends vraiment pas. Qu’est-ce
qui vient d’arriver? Pourquoi mon cousin l’a-t-il appelé comme ça, le fif? J’aurais dû dire quelque chose, je le voyais
me regarder en attendant ma réponse. Mais, je me sentais tellement impuissant,
j’avais l’impression d’être le prisonnier de mon propre corps. Je ne comprends
vraiment plus rien. Comment mon voisin a-t-il pu faire ça? J’ai vu dans ses
yeux toute la colère et qui avait l’air d’être accumulée depuis si longtemps au
plus profond de lui qu’il avait contre mon cousin, mais j’ai surtout remarqué cette
sorte de joie, cette sorte de satisfaction à le faire souffrir. Le pire, c’est que je crois avoir aperçu seulement un petite partie de sa noirceur,
et je ne crois pas que ce soit la fin,
pas encore.
"...mais j’ai surtout remarqué cette sorte de joie, cette sorte de satisfaction à le faire souffrir." Je crois que tu viens de mettre le doigt sur quelque chose... que moi-même je n'avais pas remarqué à priori. C'est le point tournant du roman je crois, où, tranquillement, le personnage réalise qu'il a ce pouvoir-là, lui aussi, de faire mal.
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